la définition du péché

La définition du péché

 

L’état du monde actuel, pourquoi cet état ?

Les troubles, difficultés économiques, les guerres, les hommes politique perdus…la mondialisation et ses conséquences

Ceux sont bien là, les résultats de l’indépendance de l’homme par rapport à Dieu le Créateur.

La bible nous dit clairement que si nous ne voulons pas dépendre de Dieu, la vie sur terre sera difficile, et qu’il y aura des guerres, des famines…dans les faits tout ce que nous connaissons aujourd’hui…

C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort est étendue à tous les hommes, à la suite de quoi tous ont péché… Romains 5:12

La Bible ne dit pas que Dieu a puni la race humaine à cause du péché d’un seul homme, mais que la disposition au péché, c’est-à-dire ma prétention à disposer de moi-même, est entrée dans le monde par un seul homme. Elle dit aussi qu’un autre homme, Jésus, a pris sur lui le péché de toute l’humanité et l’a aboli par son sacrifice (Hébreux 9:26), révélation infiniment plus profonde.

La disposition au péché consiste à se chercher soi-même, à faire de son moi, son dieu. Cette disposition peut se manifester soit par une profonde immoralité, soit s’accompagner d’une moralité très stricte.

L’une et l’autre ont la même racine : la prétention à être son propre maître.

Lorsque Jésus se trouvait en face d’hommes habités par toutes les forces du mal, ou d’hommes dont la vie était pure, morale, rangée, il ne s’arrêtait ni à la dégradation des uns, ni à la valeur morale des autres.

Il regardait à ce que nous ne voyons pas : l’attitude intérieure.

Le péché est en moi dès ma naissance, je ne peux rien y changer; mais Dieu s’en charge, par la Rédemption. Par la croix de Jésus-Christ, Dieu a racheté toute la race humaine de la menace de condamnation qui pesait sur elle à cause de l’hérédité du péché. Jamais Dieu ne tient l’homme pour responsable d’avoir hérité du péché. La condamnation ne vient pas de là. Mais je suis marqué du sceau de la condamnation, si, comprenant que Jésus est venu pour m’en délivrer, je refuse d’accepter son salut.

C’est ici le jugement (le moment critique) : « la lumière (Jésus) étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres (Satan) à la lumière. »